C'est cette direction (en limitant le nombre des formes à 2 ou 3) qu'il poursuit en réintroduisant la couleur dont la matière devient de plus en plus riche et subtile, accentuant ainsi le contraste avec le fond blanc, monochrome fondamental. Le faux-masque présent dans presque chaque tableau depuis plus de 10 ans cède le plus souvent la place aux arbres, aux fruits, aux pierres ou aux animaux.