En parallèle à ses sculptures, Jean-Michel Sanejouand entreprend une série de peintures exclusivement sur papier. C'est une manière de respirer pour mieux se concentrer sur la prochaine sculpture. Et d'être plus libre aussi. Pour cette raison il privilégie le papier et la vitesse d'exécution. De là naissent des embryons de paysages. L'arbre est celui du calligraphe, réalisé en quelques coups de pinceaux. La pierre est plus complexe. Parfois les deux cohabitent. Mais il est toujours question ici d'espace et de liberté.